Rebecca ou le mariage
Abimélec donc fit une ordonnance à tout le peuple, en disant: Celui qui touchera cet homme, ou sa femme, sera certainement puni de mort.
Et Isaac sema en cette terre-là, et il recueillit cette année-là le centuple; car l'Eternel le bénit.
Abimelek déclare qu'Isaac et Rebecca sont mari et femme, et qu'ils ne doivent pas être touché, sexuellement bien sûr, c'est de cela dont il est question.
Abimelek invente le mariage.
Rebecca est la première mariée.
Rébecca est souvent présentée comme un modèle de la soumission à la volonté divine, un peu à la manière d’Abraham, mais la situation est quelque peu différente, puisqu’Abraham prend ses ordres directement de Dieu, quand Rébecca n’obéit qu’à un serviteur qui s’en recommande. Rébecca est plutôt le prototype du mariage arrangée, son nom signifiant quelque chose comme "passer la corde au cou", et son obéissance, la bonne grâce avec laquelle des millions de filles de par le monde s’y soumettent. Le texte ne confond pas le mariage arrangé avec le mariage forcé : c’est joyeuse que Rébecca quitte sa famille pour vivre avec un homme qu’elle ne connait pas, et si sa famille la laisse partir, c’est qu’après qu’elle ait manifesté son accord. Accord qui n’est pourtant pas un choix libre et volontaire mais bien l’expression de l’harmonie entre la volonté individuelle et l’organisation sociale
Rébecca est souvent présentée comme un modèle de la soumission à la volonté divine, un peu à la manière d’Abraham, mais la situation est quelque peu différente, puisqu’Abraham prend ses ordres directement de Dieu, quand Rébecca n’obéit qu’à un serviteur qui s’en recommande. Rébecca est plutôt le prototype du mariage arrangée, son nom signifiant quelque chose comme "passer la corde au cou", et son obéissance, la bonne grâce avec laquelle des millions de filles de par le monde s’y soumettent. Le texte ne confond pas le mariage arrangé avec le mariage forcé : c’est joyeuse que Rébecca quitte sa famille pour vivre avec un homme qu’elle ne connait pas, et si sa famille la laisse partir, c’est qu’après qu’elle ait manifesté son accord. Accord qui n’est pourtant pas un choix libre et volontaire mais bien l’expression de l’harmonie entre la volonté individuelle et l’organisation sociale
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